Si vous arrivez par hasard ici, sachez que ce blog a été totalement vidé de son contenu début mars 2011. Pendant des années (mon premier article datait de 2005) j'ai raconté ma vie de célibataire un peu romancée. Je ne regrette pas de l'avoir fait, mais ma vie a changé, ma motivation et ma disponibilité pour ce blog ont diminué. Comme malgré tout il est difficile d'arrêter complètement, vous trouverez de temps en temps ici un petit article, je mettrai aussi quelques photos ici et sur mon blog photo.
Archives
Petite précision
Je boycotte tous les réseaux sociaux sous quelques formes que ce soit.
En seconde partie, dans la même salle et pour quelques euros de plus, il y avait un spectacle magnifique, vivant, intense, dont
je suis sortie vibrante et enthousiasmée. Vous connaissez cette sensation qui fait que les mains brûlent d'avoir applaudi.
S_F Sacre_Fac-similé
d’après Le Sacre du printemps
chorégraphie de Vaslav Nijinski, 1913
La pièce S_F Sacre_Fac-similé est une transmission par Dominique Brun du Sacre du printemps aux étudiants du CNDC d'Angers.
Elle est le résultat du cursus de deux années suivies par les 15 étudiants. S_F Sacre_Fac-similé veut entretenir une relation à la fois étroite et distanciée aux archives de la danse du Sacre, se
dégager de l’histoire.
Il est vrai que j'avais été voir sur le net, cette chorégraphie de Nijinski, puis celle de Béjart, puis celle de Pina Baush. La
musique de Stravinsky nous transporte, et leur chorégraphie était incroyablement expressive. Un régal.
Si vous avez l'occasion d'aller voir cette troupe, courrez-y.
Cette photo est tirée d'un spectacle de Pina Baush à Paris.
Voilà les réflexions de mes voisins et voisines, auxquelles j'adhère complètement.
Lorsque j'ai pris ce spectacle dans mon abonnement, j'aurais du lire ce texte :
Le Cri réunit deux danseuses, deux sœurs, Nacera et Dalila Belaza. Pour Nacera, chorégraphe dont Le Cri était en 2008 la
onzième création, « cette pièce aurait dû être la première », tant elle constitue le noyau de son propos artistique : rester concentrée sur « l’état », sans dispersion
d’aucune sorte. Traitée avec un parti pris de simplicité - des danseuses vêtues d’un pantalon de jogging et d’un tee-shirt, une scène peu éclairée, une gestuelle impeccable et presque minimaliste
- la pièce explore un mouvement quasi originel, présent dans de nombreuses danses traditionnelles : une sorte de balancement du corps, d’abord intérieur et imperceptible, et qui croît
au fur et à mesure qu’il envahit l’être dans un élan libératoire. Une danse aussi voluptueuse que rageuse, qui invite le corps à lâcher prise ; le cri, c’est lorsque l’ancrage ne cède
pas.
Rien, pour moi, il ne s'est rien passé sur scène.
Ca me faisait penser à ce qu'on peut dire d'un tableau "oh, c'est du boulot", parce qu'à part la performance technique de
repêter à l'infini un mouvement et en amplifier imperceptiblement le rythme, sur des mélanges de musiques tellement fortes que par moment il fallait se boucher les oreilles, rien, il ne s'est
rien passé.
Mon ami qui possède ce chat, me disait que son chat ressemble au Chat Potté de Shreck, j'avais pas vu le rapport, jusqu'à ce
matin où je suis allée voir sur le net, évidemment.
Là, sur la table à 10 cm de son museau, il y avait les saucisses prêtes pour aller sur le barbecue, il était fasciné, et avec
cette expression en me regardant. Bizarrement, j'ai pas compris.
Un film superbe à mon avis. Des acteurs justes. J'adore le rôle du frère ! Et la musique est fantastique, normal, c'est
l'histoire d'un prof de musique.
Et si vous êtes cinéphiles, ne loupez pas l'exposition sur Stanley Kubrick à la Cinémathèque à Bercy. Prévoyez du temps, il faut
au moins trois heures pour la voir correctement.
(Surtout si comme moi vous confondez Nation avec Place d'Italie...
Nous avons finis par nous trouver pour manger ensemble Philémon et moi ;-)
Je suis de retour de vacances. C'est un peu la mort dans l'âme que j'ai repris le travail ce matin.
Une première photo, lors de notre visite d'Oloron Ste Marie. Une statue que nous avons malicieusement surnommée "Momo le
morpion". Avouez tout de même que ça ne ressemble à rien ce machin sur trois pattes.
Il parait que c'est le "Génie des Pyrénées", il ferait partie d'un ensemble de sculptures érigées à Oloron pour symboliser le
chemin de Compostelle.
"Dans les lacets du Biscondau : "LE GENIE DES PYRENEES" de Mark Brusse. Sur un autel de marbre rouge du Languedoc, l’artiste a
installé un énorme galet couronné d’un masque de bronze."